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L’Éveil de l’Esprit Kongo : Retour à la Terre Promise et Révélation d’une Vérité Ancestrale “Les Bantous sont les hébreux de la Bible”

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Réveil Spirituel Kongo : Retour aux Racines Ancestrales

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Le réveil spirituel du peuple Kongo-Bantu, prophétisé dans les Écritures, marque un retour aux racines sacrées. Ce mouvement, centré sur l’identité et la vérité spirituelle du peuple, relie la prophétie de Sion à des terres africaines comme le Cameroun, symbolisé par “Kama-Luna.” Avec des lieux saints comme Nkongsamba et les collines de Yahunde, ce réveil réaffirme un lien profond avec l’héritage ancestral et le destin spirituel du peuple Kongo.

Le Retour de l’Esprit Kongo : Une Prophétie Révélée pour le Temps Marqué

Dans le livre prophétique de Daniel, il est dit : “Tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps marqué.” Ce message, adressé à Yuda Bantu Kongo, marque le début d’un réveil spirituel longtemps attendu. Dans ce contexte, ce texte sacré appelle à une relecture sous le regard de l’Esprit Kongo, qui invite les descendants à puiser dans leur identité ancestrale pour redécouvrir une vérité intemporelle et libératrice. Car, selon la prophétie, au temps déterminé, la connaissance de la vérité s’accroîtra et affranchira ceux qui y accèdent.

L’Agenda de l’Éveil Spirituel : 2020-2030

L’Agenda 2020-2030 est une étape prophétique pour les héritiers du peuple Kongo-Bantu, en quête de leur propre vérité. Les Écritures ancestrales prédisent que le peuple, doté d’un esprit purifié et guidé par un regard lucide, relira les prophéties et reconnaîtra la véracité d’une histoire spirituelle autrefois masquée. “La vérité intrinsèque est la même hier, aujourd’hui et demain,” nous rappelle cette parole sacrée, soulignant l’intemporalité de cette quête de révélation.

Une Réalité Redéfinie : Identité et Héritage du Peuple Kongo

Le texte sacré fait référence à des traits physiques précis et des éléments identitaires uniques. Les personnages bibliques principaux, du Créateur au Premier-Né et à la descendance d’Abraham, sont décrits avec une peau d’airain et des cheveux laineux. Ces descriptions, bien plus que symboliques, témoignent d’une géographie spirituelle bien définie, Sion étant un lieu au cœur des prophéties. Dans ce cadre, la terre de Sion est interprétée comme une région traversée de nombreux fleuves, correspondant ainsi à une géographie africaine riche et variée.

Pour certains, Sion peut symboliser une île entourée d’eau, mais dans la tradition Kongo-Bantu, Sion se traduit comme la terre de “Kamerun,” aussi appelée “Kama-Luna.” Ce territoire, reconnu pour son importance prophétique, pourrait bien incarner cette promesse ancestrale de Sion.

Les Lieux Saints : Les 7 Collines et le Sanctuaire du Divin

Dans l’Ancien Testament, Esaïe évoque des offrandes dédiées à Ntu, le Dieu suprême, par le peuple Kongo-Bantu, décrit comme une nation autrefois disloquée. Ce peuple, dont la terre est sillonnée de fleuves, est prédestiné à se rassembler sur les lieux saints comme ceux de Nsi-Ayon ou Tsi-Yon (Sion), identifiés aujourd’hui au Cameroun. À travers des passages prophétiques comme le Psaume 48, “la montagne de Sion” et “les sept collines de Yahunde-Ongola” symbolisent le retour spirituel vers des terres sacrées.

En effet, la ville mythique de Nkongsamba est désignée comme N’Kongo Samba – la montagne sainte d’A’Kongo Nzambe. Située dans le “Kama-Luna,” elle représente l’autel de l’Éternel et le “Trône du Divin,” lié à un retour aux racines kongo dans une terre jadis promise.

Une Terre Promise Révélée : La Vision d’un Lieu Sacré au Cœur de l’Afrique

Selon cette prophétie, les descendants du peuple Kongo-Bantu sont invités à se reconnecter à leur héritage spirituel, avec Nkongsamba et le pays de Kama-Luna comme épicentres. Ces lieux, dotés de symbolisme ancestral et de repères sacrés comme le “Trône du Divin,” portent l’empreinte prophétique d’une Terre Sainte rétablie.

Conclusion : Le Retour à une Vérité Ancestrale et la Réaffirmation de l’Identité Kongo

Le retour prophétique de l’Esprit Kongo invite le peuple Kongo-Bantu à se reconnecter à des vérités enfouies, oubliées dans les méandres de l’histoire et de la colonisation. Ce mouvement de redécouverte spirituelle, fondé sur les anciennes Écritures, représente bien plus qu’une simple réappropriation culturelle : il est le chemin vers une affranchissement collectif, basé sur une compréhension renouvelée de soi et de ses origines. Dans ce contexte, les textes sacrés, lus avec un esprit éclairé, révèlent une histoire d’identité, de foi et de résilience profondément enracinée dans le continent africain.

La prophétie qui relie le peuple Kongo-Bantu à la terre de Sion renforce l’idée que l’histoire spirituelle de ce peuple est bien celle d’une nation ancestrale, porteuse d’un héritage unique. En désignant des lieux comme “Kama-Luna” et des sites sacrés comme Nkongsamba ou Yahunde-Ongola, les prophéties donnent une nouvelle signification à la géographie africaine en tant que terre d’éveil et de mémoire. Ces lieux ne sont pas seulement des points géographiques ; ils incarnent des symboles vivants d’une promesse et d’une destinée redécouvertes.

Alors que l’Agenda 2020-2030 se déploie, ce réveil spirituel aspire à rendre aux descendants du peuple Kongo-Bantu une compréhension holistique de leur place dans le monde. La vérité, qui s’étend au-delà du passé pour résonner dans le présent et l’avenir, est le socle d’une renaissance culturelle et spirituelle. Les valeurs et la sagesse ancestrale, réactualisées, se révèlent alors comme des outils de résilience, guidant les nouvelles générations vers une conscience collective plus profonde.

Enfin, le retour à l’Esprit Kongo n’est pas seulement une quête de vérité individuelle, mais bien un mouvement d’unité, de fraternité et de justice. En redécouvrant et en réaffirmant leur héritage, les descendants du peuple Kongo-Bantu ouvrent un chemin de reconnaissance et de dignité. Ce mouvement, fondé sur la vérité et la spiritualité, annonce un avenir éclairé par les leçons du passé et les promesses d’une rédemption spirituelle collective.


Le livre est en vente sur Amazone

Les Bantous sont les anciens juifs Hébreux de la Bible Format Kindle

de Blaise Messomo Etoundi (Auteur)  Format : Format Kindle

L’humanité pour sa propre marche évolutive a besoin de respecter la principe de VÉRITÉ, de l’EQUITÉ dans la reconnaissance et la valorisation des talents. C’est dans ce sillage que s’inscrit cet ouvrage qui tend à remettre à la lumière une vérité occultée volontairement ou non par certaines forces. Le véritable peuple élu connu sous l’appellation IS-RA-EL est en réalité le peuple noir africain BA’NTU YISOLELE YISAHELA., Redécouvrir ce mystère ouvre une perspective plus authentique liée à la spiritualité originelle avec aussi la NÉGRITUDE du Messie, le Christ. La Bible (Bien que triturée par, Empereur romain Constantin An 325 et concile de Nicé), est donc histoire et héritage du peuple noir BaNtu hébreux authentique Is-Ra-El qui contient_ :

– La Parole Sacrée du Créateur.
– Les opinions et avis des sages.
– L’architecture historique de l’humanité : la guerre spirituelle des 2 semences distinctes…

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Détails sur le produit

  • ASIN ‏ : ‎ B0CW1G3WM4
  • Éditeur ‏ : ‎ Réveil spirituel Kongo (7 mars 2024)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Taille du fichier ‏ : ‎ 1485 KB
  • Synthèse vocale ‏ : ‎ Activée
  • Lecteur d’écran  ‏ : ‎ Pris en charge
  • Confort de lecture ‏ : ‎ Activé
  • Word Wise ‏ : ‎ Non activé
  • Nombre de pages de l’édition imprimée  ‏ : ‎ 233 pages


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La Bible Africaine

Par (auteur.s) Biblistes Africains

Découvrez une nouvelle approche de la Bible avec « La Bible Africaine ». Cette édition unique est le fruit du travail de biblistes et théologiens africains qui ont su contextualiser les thèmes bibliques en puisant dans les racines profondes de leur foi chrétienne et de leur patrimoine religieux et culturel.

La Bible Africaine ! Ce syntagme éveille les vieux débats au sujet des philosophies et théologies africaines des temps de Tempels, Tshibangu, Vanneste, Malula… qui sont des problèmes résolus depuis des décennies quand bien même certains érudits d’un classicisme plus occidental que tropical voudraient les revisiter. Oui, la Bible Africaine, c’est exactement de cela qu’il s’agit dans le livre que vous tenez entre vos mains, cher lecteur, et dont nous devons écrire la préface.

Toutefois écrire une préface aux Ta Biblia, c’est-à-dire le livre des livres, est une véritable gageure dans la mesure où chaque livre mériterait sa propre préface puisque chaque livre de la Bible Africaine a sa propre introduction.

L’originalité de cette Bible, dite Africaine, se trouve incontestablement dans l’approche contextualisée faite par les biblistes et théologiens africains des thèmes développés dans les passages bibliques. Partant des racines profondes de leur foi chrétienne, puisant aux sources intarissables de leur patrimoine religieux mais surtout culturel, ces exégètes en font échos dans leurs commentaires sur les mythes de création, les Proverbes, les récits des apparitions pour ne citer que ceux-là, en vue d’orienter la compréhension des Saints Écrits dans une perspective typiquement africaine.

Le mythe de la femme qui, en pilant son foutou ou foufou, éloigne le ciel de la terre et qui, du coup, éloigne Dieu (Yah’Kongo, Nzambe) des hommes, par exemple, traverse toute l’Afrique occidentale en ce sens qu’il est connu en Côte d’Ivoire, au Ghana, au Togo, au Bénin, au Nigeria. En Afrique centrale, il existe chez les Giziga du Cameroun et au Congo (RDC). En Afrique orientale, les Dinka du Soudan en ont plusieurs versions. Ainsi, la problématique de la proximité initiale de Dieu et de son éloignement causé par l’action de l’homme éveille, dans l’esprit et dans le cœur des commentateurs africains, le thème du retour ou de la nouvelle proximité de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe), un sujet aux lourdes conséquences évoquant l’attente de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe), la réconciliation du Créateur avec sa créature.

En reconnaissant donc dans «< Le Verbe qui s’est fait chair et qui a demeuré parmi nous >> (Jn 1,14) l’objet de leur soif de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe) et de leur attente d’une nouvelle et meilleure proximité de leur Créateur-les pronoms possessifs ont toute leur raison d’être puisqu’ils traitent de contextualisation – le Messie ouvre un nouvel horizon de foi pour tous les fils et filles du continent. C’est pourquoi La Bible Africaine est une Bonne Nouvelle non seulement pour les Africains mais aussi pour tous ceux qui désirent avoir une nouvelle compréhension et un nouveau regard sur les textes bibliques. Désormais, les amoureux de la méditation de la parole de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe), de la prière, de la liturgie, de la prédication, trouveront, dans la Bible Africaine, un précieux compagnon de leur vie chrétienne à travers les pages qui se déploient sous leurs yeux affamés, nous le souhaitons vivement, de lecture.

C’est un cliché d’affirmer que l’Afrique est marquée non pas par l’écriture mais par la tradition orale. Je pense qu’elle est plutôt marquée par la tradition de l’écoute. Que la lecture de La Bible Africaine devienne, cher lecteur, une écoute de la parole de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe) : « À qui irions-nous Seigneur, tu as les paroles de la vie éternelle » (Jn 6, 51). Lire et méditer la parole de Dieu (Nzambe) présentée par la Bible Africaine, est une question de re-naissance et de vie pour tout chrétien africain d’aujourd’hui et de demain.

Mgr Raymond Ahoua

Président de l’APECA

Le texte de “La Bible Africaine” est celui de la TOB, dernière édition, celle de 2010. Elle inclut les livres deutérocanoniques, admis par les catholiques, c’est-à-dire la Bible des Septante, mais face aux restrictions de l’épiscopat ivoirien, elle n’inclut pas les « autres livres deutérocanonique admis par les orthodoxes » (3ème et 4ème livre d’Esdras, 3ème et 4ème livre des Maccabées, Prière de Manassé, Psaume 151), que la TOB a ajoutés dans son édition 2010 dans un esprit œcuménique plus large.


Une Bible aux commentaires inculturés. Elle constitue une bible expliquée selon les critères de « l’inculturation africaine » permettant d’être « lue avec des yeux africains », a indiqué Sr Musuamba, précisant que les introductions, les notes et les commentaires sont écrits par des biblistes africains qui enseignent et poursuivent leurs recherches dans les différents instituts et universités en Afrique.
Ils font référence aux traditions et cultures africaines, utilisant même le vocabulaire local. Elle a comme ambition d’atteindre plus en profondeur l’homme africain et ainsi être plus facilement entendue et comprise par tous.

Pourquoi avoir publié une « Bible africaine » ? À quel besoin répond-elle ?

Nous avons lancé une « Bible africaine » dans le souci d’inculturation de la parole de Dieu(Yah’Kongo, Nzambe) voulue par l’Église d’Afrique. Le point de départ de l’inculturation, c’est l’incarnation du Christ (Le Messie Yissa’Yah) lui-même, qui s’est rendu proche de nous pour véhiculer le langage de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe).

Cette inculturation se joue à deux niveaux : le premier passe par la traduction de la Bible dans nos langues locales. Deuxièmement, on peut parler d’une interprétation « africaine » particulière. En l’occurrence, nous avons introduit dans cette « Bible africaine » des commentaires pour relier le message biblique à ce qui constitue la culture africaine, c’est-à-dire des façons de sentir, de penser, de vivre et de s’exprimer propres à la culture locale.

Tout l’enjeu de cette inculturation, est de nous rendre proches de la parole de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe) en prenant en compte les proverbes de chez nous, les régions de chez nous, les coutumes et traditions de chez nous.

En quoi les récits bibliques peuvent-ils être spécifiquement « africains » ?

Prenons la Genèse. Les Africains ont de nombreux récits de créations et un grand nombre d’entre eux ont des éléments en commun avec la Genèse. c’est le cas, par exemple, de la création des êtres humains, de la séparation avec Dieu (Yah’Kongo, Nzambe) et de l’origine de la souffrance. Le récit de la Genèse vient se recouper avec des éléments qui existent déjà dans la culture africaine. Le récit biblique ne nous est pas étranger.

Que révèle la lecture d’une bible africaine ?

On se dit que Dieu (Yah’Kongo, Nzambe) nous parle d’une façon particulière, en lien avec nos cultures. Quand l’Africain lit la parole de Dieu (Yah’Kongo, Nzambe), cela pourrait paraître lointain à un certain niveau parce que les réalités évoquées ne sont pas nécessairement en lien avec celles qu’il pourrait connaître chez lui.

VOIX D’AFRIQUE

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