Les voyages d’Israël en Egypte (Afrique).

La grande question qu’il faut se poser est : Au 21ème siècle, où est l’Israël biblique, peuple choisi de Dieu ?

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Pour commencer, voici ce que dit la parole de Kongo concernant la fuite définitive d’Israël :

Luc 19, v 43 : Il viendra sur toi des jours où tes ennemis t’environneront de tranchées, t’enfermeront, et te serreront de toutes parts; 44 ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas connu le temps où tu as été visitée.

Matthieu 24, v 1-2 : Comme Yissa’Yah Kongo s’en allait, au sortir du temple, ses disciples s’approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.

Luc 21, v 20 : Lorsque vous verrez Jérusalem investie par des armées, sachez alors que sa désolation est proche. 21 Alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes, que ceux qui seront au milieu de Jérusalem en sortent, et que ceux qui seront dans les champs n’entrent pas dans la ville. 22 Car ce seront des jours de vengeance, pour l’accomplissement de tout ce qui est écrit. 23 Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là! Car il y aura une grande détresse dans le pays, et de la colère contre ce peuple. 24 Ils tomberont sous le tranchant de l’épée, ils seront emmenés captifs parmi toutes les nations, et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations, jusqu’à ce que les temps des nations soient accomplis.

Yissa’Yah Kongo prophétise sur la destruction à venir de Jérusalem, il en parle en utilisant les termes désolation, grande détresse et colère. Ce qui veut dire que les conséquences seront désastreuses pour tout un peuple.

rouge : Genèse 15, v 13-15 ( les 400 ans d’esclavage).

vert : Ezéchiek 36, v 5 (occupation de Jérusalem par les khazars avec l’aide d’Edom, et sous l’autorité d’Edom).

Voici les évènements d’un point de vue historique avec Josephus Flavius, historien judéen.

Le siège de Jérusalem en 70 est l’événement décisif de la première guerre judéo-romaine, la chute de Massada en 73 ou 74 y mettant un terme.

L’armée romaine, menée par le futur empereur Titus, qui est secondé par Tibère Alexandre ( Luc 3, v 1), assiège et conquiert la ville de Jérusalem, qui avait été tenue par ses défenseurs juifs depuis 66. La ville est mise à sac, et le second Temple de Jérusalem détruit. Seul le mur d’enceinte occidental subsiste.

Titus est secondé par Tibère Alexandre, apostat du judaïsme, ancien procurateur de Judée, qui connaît donc la région et qui a déjà massacré des Juifs à Alexandrie en tant que préfet d’Égypte sous Néron. Selon Flavius Josèphe, ce sont 23 400 hommes que les Juifs peuvent opposer aux Romains, mais ils appartiennent à des factions antagonistes et obéissent à de multiples chefs qui se sont entretués dans une féroce guerre civile. Au début du siège, au printemps 70, Jérusalem est tenue par trois factions zélotes (Luc 6, v 15 ; Actes 1, v13).

Titus met donc le siège devant Jérusalem peu avant la Pâque 70. Il a avec lui quatre légions qu’il dispose d’abord sur les collines entourant Jérusalem, le mont Scopus et le mont des Oliviers. Malgré la gravité de la situation, les Juifs ne s’entendent toujours pas.

Titus fait alors aplanir le terrain au pied des remparts de façon à en faciliter l’approche et construire des hélépoles (des tours roulantes) qui permettent à son armée de s’attaquer au nouveau rempart de la ville neuve, le moins haut des murs d’enceinte, situé au nord de Jérusalem. Le 25 mai 70, les troupes romaines peuvent le franchir, puis, cinq jours plus tard, le 30 mai, s’emparer du second rempart et de la ville neuve jusqu’au pied de la forteresse Antonia. Les Juifs infligent encore aux Romains de lourdes pertes et Titus décide alors de construire autour de Jérusalem une muraille de 7 kilomètres de long pour mieux isoler la ville. Jérusalem possédait des provisions pour tenir le siège durant des années. Cependant, pour « motiver » les habitants au combat, les zélotes incendièrent ces provisions. La famine commence donc à faire ses ravages: « Les terrasses étaient encombrées de femmes et de petits enfants exténués (Luc 23, v 28-29), les ruelles de vieillards morts ; des garçons et des jeunes gens erraient comme des fantômes, le corps tuméfié. Sur les places, ils tombaient là où le fléau les accablait. Les malades n’avaient pas la force d’ensevelir les cadavres de leurs proches ; ceux qui étaient encore vigoureux différaient ce soin, effrayés par la multitude des cadavres et l’incertitude de leur propre sort ; beaucoup tombaient morts sur ceux qu’ils ensevelissaient ; beaucoup, avant que fût venu pour eux le moment fatal, succombaient dans ce labeur ». Les Romains s’emparent ensuite de la tour Antonia qui est rasée. De la tour Antonia, les Romains construisent une rampe d’accès à l’esplanade du Temple et progressent malgré la résistance des Juifs qui, pour les repousser, mettent le feu aux différents portiques qui entourent le Temple. En ce moment de la fin du siège quand les sacrifices quotidiens avaient cessé dans le Temple, la famine atteint en ville son point culminant : « en dernier lieu, ils usèrent du cuir de leurs ceintures et de leurs sandales ; ils grattèrent, pour la mâcher, la peau de leurs boucliers. D’autres se nourrirent de brindilles de vieux foin ». Josèphe cite aussi un cas de cannibalisme où une mère cuit et dévore son bébé (Matthieu 24, v 19 ; Lamentations 4, v 10). Les combats redoublent d’intensité dans les derniers jours d’août 70. Selon Josèphe, Titus réunit alors un conseil de guerre pour décider du sort du Temple, qu’il conclut en disant qu’il « ne brûlerait jamais un si bel ouvrage » mais cette version laisse sceptique d’autres historiens qui croient beaucoup plus à la responsabilité de Titus dans l’incendie du Temple. Finalement, le 29 août (10 du mois de Loos, selon Flavius Josèphe), quand les Romains s’approchent du Temple, un légionnaire jette un brandon dans le Temple qui s’embrase, et malgré les ordres de Titus, les Romains ne peuvent éteindre l’incendie.

La destruction du Temple ne donne pas le contrôle de la ville aux Romains. Une fois encore, selon Josèphe, Titus s’adresse aux Juifs, et plus particulièrement à Simon et à Jean, et exige leur reddition en échange de la vie sauve. Mais comme ceux-ci posent leurs conditions et demandent à pouvoir fuir au désert (Actes 21, v 38), Titus ordonne de prendre et piller la ville à laquelle les Romains donnent l’assaut le 25 septembre (8 du mois de Gorpiée selon Flavius Josèphe) en massacrant la population et en incendiant la ville. La ville est rasée, seuls en subsistent ce qui constitue aujourd’hui le mur occidental et les tours Hippicus, Mariamme et Phasaël appelée aujourd’hui la tour de David.

Selon Flavius Josèphe, le nombre de prisonniers de guerre s’élève à 97 000 et le nombre de morts pendant le siège à 1 100 000, ce qui peut paraître exagéré même s’il faut se rappeler que le siège a commencé peu avant la Pâque, fête de pèlerinage où les Juifs avaient l’habitude de se rendre à Jérusalem. 700 prisonniers sont emmenés à Rome pour le triomphe de Titus.

La chute de Jérusalem marque la fin de 4 ans de guerre, le début de la deuxième diaspora (Jacques 1, v 1). Tout le territoire juif devient une province impériale, la Judée est directement administrée par un gouverneur prétorien. Des vétérans de l’armée romaine fondent plusieurs colonies. Les contributions au temple sont désormais versées sous la forme juridique de fiscus judaicus au temple de Jupiter Capitolin. Agrippa II (Actes 25, v 13) qui fut l’allié de Titus, sera le dernier roi de la dynastie hérodienne.

Ainsi, comme le dit Actes 21, v 38 : Tu n’es donc pas cet Egyptien qui s’est révolté dernièrement, et qui a emmené dans le désert quatre mille brigands?

On comprend qu’Israël est parti se réfugier en Afrique (Egypte). Les allés-venus des israélites (Israël et Juda) en Afrique sont fréquents depuis l’Ancien Testament.

Travaux de Thomas Vanda Odimba :

Israël avait deux possibilités pour rejoindre l’Egypte (Afrique) : le chemin des Philistins, et celui des Moabites.

1er retour d’Israël en Egypte en 721 av. J-C : 2 Rois 17, v 4-8 ; Osée 7, v 11, Osée 9, v 3 et 6.

1er retour de Juda en Egypte : 2 Rois 25, v 26 ; Jérémie 37, v 7-8.

Campagne de Nébucadnestar : 598-597, 587-586.

2ème retour de Juda en Egypte en 217 av. J-C : Jérémie 43, v 5-7, Jérémie 44, v 1.

3ème et dernier retour de Juda en Egypte en 70 de notre ère. Ce fut la fin de la présence d’Israël sur la Terre Sainte.

 Lévitiques 26, v 33-35 : Je vous disperserai parmi les nations et je tirerai l’épée après vous. Votre pays sera dévasté, et vos villes seront désertes. 34 Alors le pays jouira de ses sabbats, tout le temps qu’il sera dévasté et que vous serez dans le pays de vos ennemis; alors le pays se reposera, et jouira de ses sabbats. 35 Tout le temps qu’il sera dévasté, il aura le repos qu’il n’avait pas eu dans vos sabbats, tandis que vous l’habitiez.

 Les égyptiens les ont aidés à fuir en passant par les chemins du désert. La plus grande concentration d’israélites en Afrique était aux environs de Tachpanès. Ensuite, ils vont s’étendre de l’Est vers l’Ouest de l’Afrique, et le Sud.

Il faut savoir que les israélites, partout où ils passaient, laissaient des traces de leur passage. Cela a commencé avec le patriarche Abraham.

Genèse 12, v 7-8 : Le Seigneur apparut à Abram et dit : « À ta descendance je donnerai ce pays. » Et là, Abram bâtit un autel au Seigneur qui lui était apparu. 08 De là, il se rendit dans la montagne, à l’est de Béthel, et il planta sa tente, ayant Béthel à l’ouest, et Aï à l’est. Là, il bâtit un autel au Seigneur et il invoqua le nom du Seigneur.

Genèse 22, v 13-14 : Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes; et Abraham alla prendre le bélier, et l’offrit en holocauste à la place de son fils. 14 Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.  

Puis, Jacob :

Genèse 32, v 29-30 : Jacob l’interrogea, en disant: Fais-moi je te prie, connaître ton nom. Il répondit: Pourquoi demandes-tu mon nom? Et il le bénit là. 30 Jacob appela ce lieu du nom de Peniel: car, dit-il, j’ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée.

Genèse 28, v 18-19 : Et Jacob se leva de bon matin; il prit la pierre dont il avait fait son chevet, il la dressa pour monument, et il versa de l’huile sur son sommet. 19 Il donna à ce lieu le nom de Béthel; mais la ville s’appelait auparavant Luz.

Et les prophètes…

Exode 17,  v 15 : Moïse bâtit un autel, et lui donna pour nom: l’Eternel ma bannière.

Juges 6, v 24 : Gédéon bâtit là un autel à l’Eternel, et lui donna pour nom l’Eternel paix: il existe encore aujourd’hui à Ophra, qui appartenait à la famille d’Abiézer.

1 Samuel 7, v 12 : Samuel prit une pierre, qu’il plaça entre Mitspa et Schen, et il l’appela du nom d’Eben-Ezer, en disant: Jusqu’ici l’Eternel nous a secourus.

Ezéchiel 48, v 34-35 : Du côté occidental quatre mille cinq cents cannes, et trois portes: la porte de Gad, une, la porte d’Aser, une, la porte de Nephthali, une. 35 Circuit: dix-huit mille cannes. Et, dès ce jour, le nom de la ville sera: l’Eternel est ici.  

Ainsi, on se rend compte que si depuis la chute de Jérusalem Israël est parti se réfugier en Afrique, il est tout à fait logique que le peuple de Yahabe ait laissé des traces. La Bible ne mentionne aucunement qu’Israël est monté en Europe, ceci est une pure invention du Vatican et des ennemis du peuple de Dieu que l’on fait apprendre aux gens depuis l’école, à l’Eglise catholique et dans certaines églises dites réformées.

Osée 9, v 6 : Car voici, ils partent à cause de la dévastation; L’Egypte les recueillera, Moph (Memphis) leur donnera des sépulcres; Ce qu’ils ont de précieux, leur argent, sera la proie des ronces, Et les épines croîtront dans leurs tentes.

Memphis : porte du béni, havre de celui qui est bon.

Le passage montre bien qu’Israël s’en va en Egypte qui sera leur terre d’asile où ils resteront à vie.

Quelles sont ces traces dans le continent africain ?

*Cameroun : Yahunde (Yaounde) capitale, mot venant de Yehoudi (Juda).

                   Bamileke (peuple) = Hammoleket (1chron.7, v 18)

                   Bassa (peuple) = Baescha (1 Rois 15, v 17-22)

                   Duala Mangabel = Juda Makabe

                   M’Bala M’Bala (famille) = Bala (Jos.19, v 3).

*Gabon = Gabaon (Josué 9, v3 ; 2 Chron.1, v 3)

            Peuple Teke ou Bateke ou famille Benteke (Jonathan) = Tekoa / Tekoïte ( 1 Chron.2, v 24 ; 2 Chron.20, v 20 ; Amos 1, v 1)

*Congo : Kinshasa( capitale) = Kuschaja (1 Chron.15, v 17). Toutes les communes de cette ville portent des noms hébreux.

Maluku = Malluc ( Esdras 10, v 29 et 32), Nsele = Tselek (2 Sam.23, v 37), Matete = Matthithia (1 Chron.25, v 3), Selembao = Schélémia ( 1 Chron.26, v 14), Ngaba = Gabbaï ( Néh.11, v 8), Banunu = Beninu ( Néh.10,  v 13), Mushie = Muschi (1 Chron.6, v 19), Tshela ou Tsiela = Tsela ( 2 Sam.21, v 14), Luozi ou Lwozi = Luz ( Juges 1, v 23), Mbandaka = Manachath ou Manakhat (b1 Chron.8, v 6), Isiro = Jitseri ( 1 Chron.25, v 11), Rega ou Lega (peuple) Rohega (1 Chron.7, v 29), Baraka = Beraca /Beraka (1 Chron.12, v 3), Kabasele = Kabtseel (2 Sam.23, v 20), le Lac Molanda = Molada (Josué 19, v 2).

*Congo Brazzaville : Betou = Bethuel (  Chron.4, v 30).

*Ouganda = Hor Guidgad / Goudganda (Nb 33, v 32).

*Rwanda = Jehoadda /Yoadda (1 Chron.8, v 36) ; Kigali = Guilgal (Deut.11, v 30).

*Angola : Luanda équivalent de Rwanda. Le « res » se prononce « L » en hébreu israélite. Les 2 noms veulent dire « poursuivre ».

*Tanzanie = Jaazania (2 Rois 25, v 23) Dieu écoute ; Arusha /Harucha = Harscha ( Esd.2, v 52) , Tabora = Thabor ( Juges 4, v 12).

*Botswana = Tsaanan ( Michée 1, v 11).

*Haïti = Ajjath ( Esaïe 10, v 28) «  Tas de ruines ».

*Kenya = kénien (Juges 1, v 16) ; Kericho = Jericho ; Gilgil = Guilgal.

*Bénin = Beninu ; Ouidah = Juda.

*Côte d’Ivoire : Abidjan = Abija (1 Sam.8, v 2).

[ *travail effectué par Thomas Vanda Odimba ]

Ceci n’est qu’un échantillon, mais si on entre davantage en Afrique, on constatera que beaucoup de noms ont un rapport avec le peuple d’Israël, et sont d’origine sémite, et non kamite.

Le fait de retrouver ces noms sémites israélites en Afrique ne fait pas des israélites des africains, ou des kamites des israélites, ou encore de l’Afrique la Terre de l’Alliance Isolele. En lisant le livre d’Exode (Safi a Nsemo) ou le Livre du Juste (Safi a Tsyadi), les israélites avaient migré depuis la Terre de Canaan (en terre sémite _ lire le Livre des Jubilés) pour s’installer suite à l’invitation du pharaon de Joseph en Egypte (Genèse et Livre du Juste).

Pour exemples, le fait d’avoir le quartier français en Louisiane ne fait pas  de cet état (ancienne colonie esclavagiste français vendue aux américains) la France. Ou encore, le fait d’avoir des localités françaises au Canada ne fait pas du Canada la France. Ou encore le fait d’avoir « China Town » à San Francisco, Boston, New York, Philadelphie ne fait pas des Etats-Unis la Chine.

Quand les israélites, notamment les Judéens, ont quitté brusquement Jérusalem (Yalu Salama = Règne de Paix) à cause de la dévastation par les romains de Titus en l’an 70 de notre ère, et qu’ils ont élu asile en terre d’Afrique, ils sont arrivés sur une terre inconnue pour cette génération, et pour se rappeler d’où ils viennent et qui ils sont, ils ont simplement nommé certains endroits dont ils allaient prendre possession selon ce qu’ils avaient en terre d’Isolele. La grande majorité des israélites du royaume du Nord s’étaient déjà installée en Afrique, et n’était revenue au pays Isolele.

Par ailleurs, Dieu dit en Sophonie 3, v 10 : D’au delà des fleuves de l’Ethiopie (ou Cush/Kush/Kus) Mes adorateurs, mes dispersés, m’apporteront des offrandes.

Ethiopie = il faut voir Nubie (le Soudan). Donc le peuple de Dieu se trouve actuellement en Afrique depuis le centre jusqu’au Sud. Israël parle les langues dites bantoues, ce sont des langues sémites israélites.

Aujourd’hui, en Afrique, les « bantous » forment une grande ethnie divisée en plusieurs groupes ayant comme caractéristique commune d’avoir la même histoire, qui se différencie de celle des kamites africains, et des berbères situés au nord du continent.

Le terme de « Bantu » est proposé par l’Allemand Bleek à la fin du xixe siècle.

Qui est Bleek ?    

Wilhelm Bleek est né à Berlin, dans le royaume de Prusse. De 1845 à 1848, il étudie la théologie à Bonn et retourne ensuite à Berlin pour apprendre l’hébreu (Pourquoi selon vous étudie-t-il le soit disant « hébreu » ?) Il est élève du célèbre orientaliste Karl Richard Lepsius. Dans sa thèse de doctorat, en 1851, il s’intéresse aux classes nominales.

En 1853, Bleek se rend en Afrique du Sud, où il a obtenu un poste de chercheur linguistique. Là, il entreprend des recherches comparatives entre différentes langues, notamment entre les langues bantoue et xhosa. Il est notamment l’auteur d’une grammaire du zoulou et s’attache à analyser les classes nominales dans les différentes langues bantoues.

Wilhelm Bleek est —avec le missionnaire allemand Sigismund Koelle (18231902) qui, le premier, a procédé au regroupement des langues ouest-africaines— un pionnier du comparatisme linguistique en Afrique. En 1859, il pose les bases de la Bantuistik (ou science des langues bantoues) moderne dans le cadre de l’analyse comparée des langues des régions australe et centrale de l’Afrique, auxquelles il donne le nom « bantoues ».

En apposant aux israélites d’Afrique le nom « bantu », Bleek cherche à effacer la véritable identité de cette nation afin que le monde croie que les « juifs (khazars) » sont le peuple élu du Tout-Puissant. C’est le principe de l’usurpation d’identité.

Il faut comprendre que le travail de mensonge d’Edom sur le monde fausse la compréhension des gens sur des évènements qui ont eu lieu sur Terre, et qui tiennent leur origine dans les Ecritures Saintes (Koma).

Document PDF (aller dessus pour faire défiler).

Pour finir, voilà ce que disait un certain Abbé Proyart au 18ème siècle concernant les israélites en Afrique dans son livre “Histoire de Loango et de Cacongo et autres royaumes d’Afrique” :

Remarquez bien qu’il parle de nègres et non de bantu. Encore une fois, la Koma justifie non seulement la présence des israélites en Afrique, mais aussi que les israélites de la Koma sont bel et bien noirs.

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