Mystères cachés
Cette rubrique, intitulée Mystères cachés, a pour objectif de révéler les vérités longtemps occultées par l’histoire officielle et les récits dominants. Nous nous penchons sur des thèmes aussi vastes que les récits bibliques, la généalogie des Hébreux israélites Bantous, ainsi que les prophéties sur les événements à venir. Dans un monde où l’information est souvent filtrée ou manipulée, notre mission est de mettre en lumière ces vérités enfouies, non pas pour semer la discorde, mais pour éveiller les consciences et enrichir la compréhension de notre passé commun. Nous croyons fermement que la connaissance est un pouvoir, et que chaque individu mérite d’avoir accès à ces informations précieuses pour appréhender le monde d’une manière plus complète.
Thank you for reading this post, don't forget to subscribe!L’histoire des Bantous, souvent négligée dans les discours historiques traditionnels, est en réalité au cœur de récits bibliques et de traditions ancestrales qui remontent à des milliers d’années. Notre démarche consiste à retracer ces lignées, à examiner les textes anciens, et à analyser les similitudes frappantes entre les prophéties bibliques et les événements historiques vécus par ces peuples. Ce travail de recherche, bien que complexe et parfois controversé, est essentiel pour comprendre l’identité et l’héritage des Bantous, qui ont joué un rôle central dans l’histoire spirituelle et culturelle de l’humanité.
En dévoilant ces mystères des prophéties, nous espérons non seulement rectifier les distorsions historiques, mais aussi rétablir un pont entre les générations, les peuples et les continents. Les vérités que nous partageons ne concernent pas uniquement un groupe particulier, mais s’adressent à toute personne désireuse d’explorer les racines profondes de l’humanité et de son histoire. À travers cette démarche, nous encourageons chacun à réfléchir, à remettre en question les récits dominants et à chercher la vérité par lui-même. Il ne s’agit pas simplement de découvrir des faits historiques, mais de renouer avec une sagesse ancienne, transmise de génération en génération, et qui continue de résonner dans notre présent.
Ainsi, Mystères cachés se veut être un phare dans l’obscurité, une plateforme pour ceux qui cherchent des réponses au-delà des évidences. Que vous soyez motivé par la curiosité, la quête spirituelle, ou la soif de vérité, cette rubrique vous invite à ouvrir les yeux sur des réalités ignorées et à cheminer avec nous vers une meilleure compréhension du monde et de votre propre héritage.
Révélation de Ndani’Yela :
Les deux bêtes d’Apocalypse | Les prophéties.
Yissa’Yah Kongo : crucifié ou pendu ? :
Le Messie a été pendu à arbre ou cloué sur une croix.
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Histoire identique du peuple Bantous Hébreu Yisraélite déporté avec la mort du Messie Yissa’Yah Kongo
L’histoire des esclaves Bantous, identifiés comme les Hébreux israélites déportés vers les Îles de la mer, les Antilles et les Amériques, révèle des parallèles poignants avec les souffrances du Messie, Yissa’Yah Kongo. Ce dernier, à travers son calvaire, a non seulement incarné la douleur et l’injustice subies par les opprimés, mais a également illustré un schéma de persécution et de cruauté qui s’est poursuivi bien après sa mort. Tout comme le Messie Yissa’Yah Kongo a été pendu à un arbre, condamné à subir les pires tortures de son temps, les esclaves déportés ont eux aussi connu la pendaison aux arbres, méthode macabre employée par les oppresseurs pour les punir ou les condamner à mort. La récurrence de ces pratiques brutales semble s’inscrire dans un cycle historique de souffrance imposée aux descendants du peuple élu qui, dans leur mémoire collective, voit en ces sévices une continuité de la persécution de leurs ancêtres spirituels.
Le texte sacré, lorsqu’il est lu à travers le prisme de cette histoire tragique, peut porter une compréhension renouvelée et profonde de la souffrance collective. Yissa’Yah notre Messie, dans sa vie et sa mort, apparaît non seulement comme un rédempteur individuel, mais également comme une figure universelle du martyr. Les souffrances des esclaves déportés, qui, arrachés à leur terre, ont subi des tortures dégradantes, sont un écho direct à celles du Messie Yissa’Yah Kongo. En effet, tout comme les Évangiles rapportent de la pendaison sur un arbre, les pendaisons d’esclaves étaient une reproduction de cette même violence symbolique, renforçant l’image d’un peuple choisi, livré aux souffrances du monde, mais portant en eux une promesse de délivrance.
En considérant cette perspective, le texte sacré devient un miroir des épreuves historiques, non seulement un message de foi, mais aussi un témoignage de la résilience humaine. La figure du Messie Yissa’Yah Kongo devient un symbole spirituel avec les opprimés de toutes les époques. Les atrocités commises contre les esclaves Bantous, de même que leur résistance, peuvent alors être vues comme une extension de la mission du Messie, rappelant la promesse d’une justice divine à venir. Dans cette optique, la lecture des Écritures invite à comprendre que la libération ne se limite pas à une délivrance spirituelle, mais concerne aussi la restauration d’une justice divine, longtemps réclamée.
A cette époque-là, les exécutions sont nombreuses. Les esclavagistes ne comprennent d’ailleurs pas pourquoi, malgré leurs menaces et les châtiments infligés, les fuyards sont toujours plus nombreux et quand ils sont châtiés, loin d’être un avertissement pour les autres, ils deviennent des exemples à suivre. Une fois hissé sur la branche où il sera pendu, le supplicié sait alors qu’il a fait honneur à ses ancêtres et que ces derniers qui ont tout pouvoir dans le temps et dans l’espace, viendront le chercher pour le reconduire sur leurs terres d’origine. Leur mort est un signe de victoire
Dès lors la guerre spirituelle des Bantous BaKongo déportés se termine. Mais si les esclavagistes ont dû apprendre leurs mœurs et leurs cultes pour contrefaire leurs croyances et sauver leurs plantations, eux ont appris les techniques de résistance armée et de stratégies de lutte pour combattre la servitude. Ils ne seront plus des soukounyans, ils seront des soldats, des marrons, des révoltés.
Mais tout cela, c’est l’histoire officielle, celle qui ne parle pas des fromagers et des résistants pendus, qui en parle le mieux, ignorant qu’avant elle, les résistants de l’ombre avaient mené leur propre lutte contre la servitude.
Ainsi, à travers la répétition historique des sévices, une nouvelle compréhension du message du Messie s’ouvre. Sa souffrance ne serait pas uniquement une étape nécessaire pour la rédemption de l’âme humaine, mais également un cri prophétique contre l’oppression et l’injustice, un appel à résister à toute forme d’esclavage, physique ou spirituel. Les esclaves, par leurs souffrances et leur espoir de liberté, incarnent cette lutte permanente pour la justice, tout comme Yissa’Yah l’avait fait en son temps afin de libérer chaque être vivant.
De la Justice Ancienne à la Violence Coloniale : Histoire d’une Évolution Juridique entre Tradition et Oppression
Les écrits bibliques et les lois de l’époque du messie décrivaient un système de justice qui bien que sévère, était en lien avec les coutumes de la pendaison et du lynchage et croyances des peuples concernés. Chez les Hébreux Yisraélites Bantous, la condamnation par pendaison était pratiquée, la crucifixion n’a jamais existé et n’a jamais été une méthode d’exécution dans leur culture. Cette méthode est devenue tristement célèbre sous l’Empire romain, puis, avec l’établissement de l’Église catholique, elle s’est enracinée dans la symbolique religieuse. Au fil du temps, un puissant champ d’énergie collectif, ou égrégore, s’est formé autour du changement du symbole qui devient la croix, encourageant la croyance que le Messie, Yissa’Yah Kongo, aurait été crucifié sur la croix. Pourtant, même à l’époque du Messie, les Romains utilisaient la pendaison comme méthode de punition et d’intimidation contre ceux qu’ils considéraient comme des rebelles à leur autorité.
Contrairement à la croyance actuelle en une crucifixion prétendument centrale à la foi chrétienne, catholique romaine et apostolique, cette pratique n’a jamais existé dans la tradition hébraïque des temps anciens. En réalité, la crucifixion, n’était pas une méthode d’exécution reconnue dans les lois et coutumes des Hébreux. Cette idée d’une mort sur la croix est devenue, avec le temps, un symbole pour des systèmes religieux qui ont intégré et transformé les éléments de la loi des Hébreux Yisraélites Bantous, à un pouvoir romain en outils de foi. Cette transformation a contribué à la création d’une puissante symbolique, où la croix incarne non seulement un égrégore collectif, mais aussi un récit façonné pour consolider l’autorité religieuse de notre époque.
La pendaison représentait une méthode particulièrement cruelle, transformée en symbole pour marquer l’opposition à toute menace perçue envers le pouvoir impérial en mettant en pratique les mêmes lois des Hébreux Yisraélites Bantous.
Plus tard, à l’ère de l’empire coloniale et dans le contexte de l’esclavage transatlantique, les populations Bantous BaKongo et leurs descendants ont subi des formes de violence similaire et de répression judiciaire influencées par cette logique punitive. Aux États-Unis, bien que la prétendue abolition de l’esclavage ait été déclarée.
Aux États-Unis, et même dans les îles de la mer (les antilles) au 19ᵉ siècle, le système juridique a souvent perpétué des pratiques des pendaisons ainsi que des actions discriminatoires, autorisant même parfois des lynchages, particulièrement dans le sud du pays (États-Unis). Ces exécutions, souvent réalisées en public, visaient à maintenir un contrôle social basé sur la peur et la soumission des Bantous BaKongo dite de nos jours les Afro-américains libérés.
Ainsi, l’histoire montre une progression de lois et de pratiques qui, malgré l’évolution vers des valeurs de liberté et d’égalité, a souvent été ralentie par des systèmes coloniaux cherchant à préserver des hiérarchies héritées du passé. Dans un monde marqué par la recherche de justice, ces pratiques semblent en totale opposition avec les idéaux de dignité humaine que l’on retrouve dans les écrits bibliques. Les lois modernes tentent désormais de dépasser ces méthodes brutales, cherchant à promouvoir l’équité et la justice réparatrice, en rupture avec les siècles de violence légalisée.
D’autres images démontrant ces cruautés
Complément sur Les véritables noms des patriarches de la Kuma :
Les Noms Véritables des Patriarches Bibliques
Le Nom Céleste de Yalusalama :
Le Nom que portera la Nouvelle Jérusalem.
Le vrai nom du Jardin d’Eden qui n’a jamais été sur cette Terre :
Le Nom Véritable du Jardin d’Eden.
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Les Prophéties . Mais que va-t-il se passer ?
La destruction de ceux qui se font appeler juifs et qui sont des khazars ashkénaze japhétites et berbères métis kamito-japhétites sépharades convertis au talmud, religion babylonienne : Il est temps de laisser Kongo nous instruire et nous éduquer, car beaucoup de croyants soutiennent, par ignorance et/ou refus de la Vérité de Kongo, un peuple satanique se faisant passer pour le peuple du Très Haut. Ils vont être très déçus, la déception sera grande, très grande pour eux. Amalek_ (Maleki (en vraie langue sémite hébraïque bena Isolele) = les assassins) = supercherie d’état d’isra hell ou khazarie orientale = juifs = khazars ashkénazes japhétites et berbères métis kamito-japhétites sépharades = talmudiques = satanistes_sera détruit par Kongo.
L’organisation OMDMHYD, dont la mission sacrée est de se dévouer à la recherche de la Vérité sur l’histoire des Hébreux Israélites Bantous dispersés, ainsi que des autres tribus demeurées sur le continent de l’Égypte antique — aujourd’hui appelée Afrique —, s’efforce d’unir ces peuples à travers le récit biblique de leur histoire commune.
Nous élevons notre gratitude vers les cieux, en rendant grâce tout particulièrement à notre frère bien-aimé Kiakesa, pour le labeur accompli avec ferveur et dévouement en faveur d’Isolele. Que son travail soit une lumière pour tous ceux qui cherchent la Vérité, car il est dit : « Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés » (Matthieu 5:6).
Qu’à travers cette œuvre de vérité et d’unité, que Yah’Kongo, Nzambe le Tout-puissant guide nos pas et éclaire nos esprits, afin que nous, enfants dispersés d’Israël, puissions marcher ensemble sur la voie de la rédemption et du retour. Que cette quête pour la restauration de notre histoire soit bénie et qu’elle soit une source d’édification pour tous ceux qui aspirent à la connaissance.
Un grand remerciement à notre frère Bena Isolele Tsiba Malonga que Kongo puisse lui conduire au travers de la Kuma afin que l’esprit de la connaissance de Kongo soit diffusée à tous ceux qui cherchent la vérité, vous pourrez le retrouver sur la plateforme YouTube ou directement sur son site web MalongiKongo.