L’écriture et la langue des vrais israélites

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Nous voilà à un autre chapitre de notre grande étude Les vrais israélites.

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Nous savons qu’aux alentours de 70 de notre ère, l’invasion romaine sur Jérusalem a obligé tout le peuple d’Israël a migré vers l’Afrique pour fuir la menace de l’épée. Ainsi, dans le continent africain, on sait que les peuples bantus sont les descendants des vrais israélites, et comme leurs pères, ils ont laissé des traces de leur passage, et de nombreuses villes actuelles portent des noms bibliques, ainsi que des pays .

Aujourd’hui, pour beaucoup de personnes dans le monde, la langue et l’écriture d’Israël, c’est ce qu’on voit et ce qu’on entend actuellement. Il y a beaucoup de questions à se poser par rapport à cela :

  1. Qu’est-ce que l’hébreu écrit ?
  2. Qu’appelle-t-on la langue hébraïque ?
  3. Quelle est la langue et l’écriture des vrais israélites bibliques ?

Pour trouver les réponses, une étude profonde, à la fois historique,  linguistique et biblique s’impose.

Une langue et une écriture sont des éléments qui identifient une nation, un peuple. Ce sont des éléments identitaires, et cela traduit souvent le mode de pensée, culturel et spirituel de ce peuple. Chaque langue a des particularités propres que seuls ceux qui sont nés dans cette culture linguistique connaissent. Les personnes qui apprennent les langues étrangères ne les connaissent pas au premier abord, mais c’est par une proximité quotidienne avec cette langue étrangère qu’ils finissent par l’acquérir.

Le but de cette partie est de répondre à la grande question : Si les israélites ont quitté Yisolele pour se cacher en Afrique, quelle langue parlent-ils ?

On va commencer avec ce qui est dit aujourd’hui, ce qu’on voit aujourd’hui, ce qui se fait de nos jours.

1« Ceux qui se disent juifs (judéens) et qui ne le sont pas. »

Lorsqu’on parle d’Israël actuel, on voit ce peuple qui habite en Terre Sainte depuis 1948. On reviendra ultérieurement sur la manière dont cette prise de territoire s’est faite. On voit aussi la langue de ce peuple qui se dit « juif mais qui ne l’est pas », l’écriture aussi. Que dit l’histoire, que dit la linguistique sur le langage de ce peuple vers qui les regards sont tournés ?

Source wikipédia :

La langue officielle de l’état d’Israël est l’hébreu moderne.

L’hébreu moderne est la variété de l’hébreu parlée depuis la fin du XIXe siècle. [Or, on a bien vu qu’Israël a quitté le pays en 70 de notre ère, et est allé s’installé en Afrique. Question : Comment peut-on parler une langue disparue, alors que les locuteurs exclusifs de cette langue ne sont plus sur le marché depuis le 1er siècle ? S’il n’y a plus pratique d’une langue, on ne peut la parler]. Sa particularité est d’être redevenu une langue vivante, parlée par des sionistes puis par la plupart des Israéliens, après de nombreux siècles où la langue était au pire une langue morte, au mieux une langue liturgique.

Sous le régime de la Palestine mandataire, l’anglais, l’arabe et l’hébreu étaient langues officielles. L’État d’Israël maintient les lois de la Palestine mandataire mais le 19 mai 1948, un amendement est adopté par le gouvernement d’Israël précisant que l’anglais n’est plus langue officielle. Le 19 juillet 2018, la Knesset  (parlement) légifère pour la première fois quant aux langues utilisées en Israël en proclamant l’hébreu langue officielle et l’arabe, langue à statut spécial.

Langues parlées dans l’état d’Israël :

 Langues maternelles 20 ans et plus (%, 2011) : Hébreu   49 Arabe   18 Russe   15 Langues maternelles 20-44 ans (%, 2011) : Hébreu   60 Arabe   20 Russe   12

Le yiddish, langue traditionnelle des Juifs ashkénazes, est parlé par des Israéliens descendants de migrants venus d’Europe de l’Est et est la langue vernaculaire des communautés hassidiques. Le yiddish est enseigné dans quelques écoles et environ 6 000 lycéens ont choisi de passer une épreuve de yiddish à l’examen du baccalauréat israélien en 2013. La langue est parlée par environ 1 000 000 de personnes en Israël dont 200 000 l’employant quotidiennement.

PDF : Faux hébreu.

(cliquez dessus pour voir)

Le ladino, langue littéraire des Juifs séfarades, et le judéo-espagnol, parlé par environ 100 000 Israéliens d’origine séfarade, sont enseignés dans quelques écoles.

L’état d’Israël est composé de deux grandes ethnies : les aschkénazes descendants de Yéphet (Yapito en lingala) :

 Biluse (Genèse) 10, v 2- 5 : Les fils de Japhet furent: Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méschec et Tiras. 3Les fils de Gomer: Aschkenaz, Riphat et Togarma. 4Les fils de Javan: Elischa, Tarsis, Kittim et Dodanim. 5C’est par eux qu’ont été peuplées les îles des nations selon leurs terres, selon la langue de chacun, selon leurs familles, selon leurs nations.

Ce sont des européens  venant du nord-est de la Turquie.

Vidéos : Yiddish_2

            

Vérité sur les faux « juifs« 

 Document : Ashkénaze_ Yiddish

Ensuite, les séfarades : des berbères (moabites, ammonites métis) qui se sont convertis au «talmudisme » pour ne pas se soumettre à l’islam.

Document : Talmud

Document PDF (cliquez dessus): Tableau généalogie sémito-israélite —› l’araméen (langue et écriture simplement sémite) qu’ils utilisent n’est pas de l’hébreu.

 Video : Les moabites ne sont …

Le site « projetaladin.org » dit ceci : Le terme « Ashkénaze » vient du mot hébreu pour Allemagne et « Séfarade » du mot hébreu pour Espagne.

Ce qui est faux.

Vidéos : Luc Ferry…

En conclusion : les israéliens et européens-berbères de l’état d’Israël ne sont pas sémites, et la langue qu’ils utilisent et qu’ils font passer pour la langue des descendants de Yakaba-Yisolele n’est pas de l’hébreu, mais plus des langues européennes combinées appelées Yiddish, et l’écriture qu’ils utilisent n’est autre que de l’araméen. La part de ce qu’ils appellent hébreu est très faible. Par ailleurs, le talmud, qu’ils utilisent comme livre sacré, est écrit à 90 % en araméen, et est plus que jamais certain que cet « hébreu » dont ils parlent est en réalité soit de l’araméen ou soit une langue d’usurpation.

La question que l’on pourrait se poser serait : Pourquoi ces personnes-là ont pris notre place ?

Parce que nos ancêtres ont péché encore une fois devant Kongo, et cela a amené une malédiction qui entrerait dans les malédictions de Deutéronome (Debula) 28, v 15-68.

Debula (Deutéronome) 22, v 21 : Ils ont excité Ma jalousie par ce qui n’est point Kongo, Ils M’ont irrité par leurs vaines idoles; Et Moi, j’exciterai leur jalousie par ce qui n’est point un peuple, Je les irriterai par une nation insensée.

Vulgate : Ipsi me provocaverunt in eo qui non erat Deus, et irritaverunt in vanitatibus (état de vide, de non-réalité ; mensonge, fraude ; paroles creuses, vanité ; ce qui n’est pas en possession de la vérité) suis: et ego provocabo eos in eo qui non est populus, et in gente stulta (qui n’a point de raison, sotte) irritabo illos.

Réf. : Romains 3, v 11 : Nul n’est intelligent, Nul ne cherche Dieu.

Romains 10, v  19 : Mais je dis: Isolele ne l’a-t-il pas su? Masa le premier dit: J’exciterai votre jalousie par ce qui n’est point une nation, Je provoquerai votre colère par une nation sans intelligence.

Vulgate : Sed dico: Numquid Israel non cognovit? Primus Moyses dicit: Ego ad aemulationem vos adducam in non gentem: in gentem insipientem (déraisonnable ; sotte, folle, sans intelligence), in iram vos mittam.

Deutéronome 32, v 26 : Je voudrais dire: Je les (israélites) emporterai d’un souffle, Je ferai disparaître leur mémoire d’entre les hommes! […] v 36 L’Eternel jugera son peuple; Mais IL aura pitié de ses serviteurs, […]

Voir vidéo sur Tabernacle Amour Fraternel : « Du royaume khazar à l’état d’Israël », ils sont qualifiés d’usurpateurs d’identité à l’encontre de leurs victimes qu’ils dépossédaient.

2 «Israël est mon fils, mon premier-né »

Maintenant, venons-en aux vrais israélites.

Il faut s’intéresser à la généalogie dans Genèse. (doc. Généalogie).

La Bible montre qu’Israël est divisé en deux royaumes (Isolele et Yahunde) :

1 Rois 11, v 31-32 : et dit à Jéroboam: Prends pour toi dix morceaux! Car ainsi parle l’Eternel, le Dieu d’Israël: Voici, je vais arracher le royaume de la main de Salomon, et je te donnerai dix tribus. 32 Mais il aura une tribu, à cause de mon serviteur David, et à cause de Jérusalem, la ville que j’ai choisie sur toutes les tribus d’Israël.

1 Rois 11, v 35-37 : Mais j’ôterai le royaume de la main de son fils, et je t’en donnerai dix tribus; 36 je laisserai une tribu à son fils, afin que David, mon serviteur, ait toujours une lampe devant moi à Jérusalem, la ville que j’ai choisie pour y mettre mon nom. 37 Je te prendrai, et tu régneras sur tout ce que ton âme désirera, tu seras roi d’Israël.

1 Rois 14, v 21 : Roboam, fils de Salomon, régna sur Juda. Il avait quarante et un ans lorsqu’il devint roi, et il régna dix-sept ans à Jérusalem, la ville que l’Eternel avait choisie sur toutes les tribus d’Israël pour y mettre son nom. Sa mère s’appelait Naama, l’Ammonite.

Par ailleurs, un autre passage montre que le peuple d’Isolele est bien séparé en deux royaumes :

Ikesa’Ela (Ezéchiel) 37, v 19-22 : réponds-leur: Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel: Voici, je prendrai le bois de Joseph qui est dans la main d’Ephraïm, et les tribus d’Israël qui lui sont associées; je les joindrai au bois de Juda, et j’en formerai un seul bois, en sorte qu’ils ne soient qu’un dans ma main. 21 Et tu leur diras: Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel: Voici, je prendrai les enfants d’Israël du milieu des nations où ils sont allés, je les rassemblerai de toutes parts, et je les ramènerai dans leur pays. 22 Je ferai d’eux une seule nation dans le pays, dans les montagnes d’Israël; ils auront tous un même roi, ils ne formeront plus deux nations, et ne seront plus divisés en deux royaumes.

Rappelez-vous, les deux Royaumes, Yisolele et Yahunde, vont connaître tour à tour des périodes de captivité ou d’exil :

Exil ou captivité de Yahunde (Sud) : • Babylone (2 Rois 23, v 31 – 25, v 21 ; Yilima’Yah 52, v 24)

                                               • Perse (Daniel 5, v30 ; Esther)

Exil ou captivité de Yisolele (Nord) : • Assyrie (2 Rois 17, v 7-41)

Et ne pas oublier les retours de Yahunde et Yisolele en Egypte.

Les 2 royaumes sont : a) Yahunde (Sud), composé des tribus Yahunde, Bena ya munu et Leva.

                                   b) Yisolele (Nord), composé des tribus La’a bena, Nsimona, Leva, Niefa, Zibulani, Pelayi, Manisa, Sala, Dana, Isaka, Ngadi.                       

Ainsi, ces différents éléments vont avoir un impact, toutefois mineure, sur la langue des israélites. Et par conséquent, on notera deux variantes dans la langue d’Israël.

Mateya (Matthieu) 26, v 69 et 73 : Cependant, Pierre était assis dehors dans la cour. Une servante s’approcha de lui, et dit: Toi aussi, tu étais avec Yissa’Yah Kongo le Galiléen. […]

Peu après, ceux qui étaient là, s’étant approchés, dirent à Pierre: Certainement tu es aussi de ces gens-là, car ton langage te fait reconnaître.

Actes 2, v 7-8 : Ils étaient tous dans l’étonnement et la surprise, et ils se disaient les uns aux autres: Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens? 8 Et comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle?

Dans les deux premiers versets, on comprend qu’en Israël il y a la langue des Galiléens, et une autre langue israélite parlée par le Royaume de Yahunde dont le Seigneur Yissa’Yah Kongo est natif. Ces deux langues se diffèrent par des mots différents (et certainement par l’accent).

Yokana (Jean) 19, v 20 : Beaucoup de Judéens lurent cette inscription, parce que le lieu où Yissa’Yah Kongo fut crucifié était près de la ville: elle était en hébreu, en grec et en latin.

                                                       Hunc ergo titulum multi Judaeorum legerunt: quia prope civitatem erat locus, ubi crucifixus est Jesus, et erat scriptum hebraice, graece, et latine.

Actes 21, v 37 : Au moment d’être introduit dans la forteresse, Paul (Pola = mouillé) dit au tribun: M’est-il permis de te dire quelque chose? Le tribun répondit: Tu sais le grec?

 Dans les deux autres versets, on comprend qu’en Israël, la langue des colons, Romains et Grecs, était parlée par certains israélites, surtout les israélites qui occupaient des fonctions notables. Parler une autre langue en plus de la langue patriarcale ne fait pas que la langue patriarcale disparaît. Au contraire, elle va même emprunter du vocabulaire, et elle va aussi en donner.

Doc.PDF Les influences linguistiques. (cliquez dessus)

Il faut savoir que depuis que les israélites furent sous la domination des Grecs (lire les livres apocryphes des Makaba, « Les partages », devenus Macabées dans la TOB) les israélites, pas tous, adoptèrent les langues des oppresseurs gréco-romains, et leur alphabet, mais ils ont gardé l’hébreu (Sud (kongo) et Nord (lingala)) pour le quotidien et le culte.

Il y une écriture hébraïque dont on ne parle jamais, et qui pourtant existait au temps d’Israël antique, et ceci dès l’ancien testament. Contrairement à l’écriture «néo-hébraïque » utilisée dans l’état d’Israël, cette écriture dont on ne parle jamais est très ancienne. Il s’agit du Paléo-hébreu.

Doc. PDF « Paléo-hébreu » (cliquez dessus)

En hébreu israélite le « yod » équivaut au zêta grec, car le yod (Y) a la forme de la lettre « Z ». C’est pourquoi, certains bantous ont adapté la prononciation gréco-romaine le -« Y » devient le « Z », aussi disent-ils, ZAHABE, au lieu de YAHABE.

Vidéo : Les 10 commandements de Dieu

Dans cette séquence du péplum hollywoodien, quelle écriture est utilisée ? Le paléo hébreu. Ainsi, les édomites (occidentaux) savent qui nous sommes, connaissent la vérité sur notre identité israélite, et pour nous narguer, sachant qu’ils ont œuvré pour laver la mémoire par la violence, ils nous montrent qui nous sommes tout en sachant que nous n’y verront rien.

Encore une preuve de l’arrogance des édomites vis-à-vis de nous, de Kongo.

« Indiana Jones : les aventuriers de l’arche perdue. »

L’écriture que vous voyez sur cette capture du film montre encore une fois que la véritable écriture hébraïque israélite n’est pas celle qui est utilisée par les israéliens khazars (fils d’Ashkénaze fils de Japhet) et sépharades (berbères). Encore une fois, les édomites (occidentaux) savent qui nous sommes.

P-S : Si vous regardez ce film, posez-vous la question : Pourquoi celui qui invoque la Puissance de « Dieu » se fait-il détruire avec les nazi ?

La question qu’il faut se poser par rapport à Jean 19, v 20 : de quel hébreu s’agit-il ?

Yokana (Jean) 19, v 20 : Beaucoup de Judéens lurent cette inscription, parce que le lieu où Yissa’Yah Kongo fut crucifié était près de la ville (Jérusalem) : elle était en hébreu, en grec et en latin.

Si le pays dont on parle au temps de Yissa’Yah Kongo est Israël antique, et que nous savons que Israël antique est allée trouver asile en Afrique depuis l’an 70 de notre ère, donc cet hébreu dans ce passage est le même que parlent les israélites en Afrique. N’est-ce pas ?

Un passage confirme cela :

Yissa’Yah (Esaïe) 19, v 18-20 : En ce temps-là, il y aura cinq villes (civitates = nations, états) au pays d’Egypte, Qui parleront la langue de Canaan, Et qui jureront par l’Eternel des armées: L’une d’elles sera appelée ville de la destruction. 19 En ce même temps, il y aura un autel à l’Eternel Au milieu du pays d’Egypte, Et sur la frontière un monument à l’Eternel. 20 Ce sera pour l’Eternel des armées un signe et un témoignage Dans le pays d’Egypte; Ils crieront à l’Eternel à cause des oppresseurs, Et il leur enverra un sauveur et un défenseur pour les délivrer.

Je vais m’arrêter au verset 18 qui semble donner une indication sur cette ville où la langue des israélites est parlée et qui proclame le nom de Nzambe Mpungu.

Vulgate : In die illa erunt quinque civitates in terra AEgypti loquentes lingua Chanaan, et jurantes per Dominum exercituum: Civitas solis vocabitur una.

Version Lemaistre de Sacy : En ce temps-là il y aura cinq villes dans l’Egypte qui parleront la langue de Chanaan, et qui jureront par le Seigneur des armées : l’une d’entre elles sera appelée la Ville du soleil.

Quelle est cette langue de Canaan dont le pays de Canaan était la propriété légitime d’Isolele ? 

Voir vidéo Etendard du Midi : Le code prophétique de la langue de Canaan.

Le passage fait bien la distinction entre la langue de Canaan qui était parlée sur la terre de Canaan appartenant aux Israélites, et le pays d’Egypte appartenant aux chamites (kamites) où se trouvent actuellement, pour un temps, les israélites propriétaires légitimes du pays de Canaan (lire le Livre des Jubilés).

Voir document PDF « Histoire de Loango et de Kakongo et … » p 191-194 du PDF. (cliquez dessus)

Voir document Power Point « Kongo Ngala vs yiddish » (vue 23 à 40). (cliquez dessus)

Yilima’Yah (Jérémie) 3, v 8 : Quoique j’eusse répudié l’infidèle Israël à cause de tous ses adultères, et que je lui eusse donné sa lettre de divorce, j’ai vu que la perfide Juda, sa sœur, n’a point eu de crainte, et qu’elle est allée se prostituer pareillement.

Le passage montre que l’époux Kongo a répudié son épouse Isolele (nord), mais pas Yahunde (sud).

Israël : royaume du nord = Ngala ─› Bangala ─› Ngalila

Juda : royaume du sud = Kongo ─› Bakongo ─› Jérusalem

Mateya (Matthieu) 26, v 69 et 73 : Cependant, Pierre était assis dehors dans la cour. Une servante s’approcha de lui, et dit: Toi aussi, tu étais avec Yissa’Yah Kongo le Galiléen. […] Peu après, ceux qui étaient là, s’étant approchés, dirent à Pierre: Certainement tu es aussi de ces gens-là, car ton langage te fait reconnaître.

Pierre a été trahi par sa langue maternelle hébraïque qui est la langue des Gala, le lingala, et certainement, soit il ne maîtrisait pas bien la langue de Yahunde(kikongo (sud)), soit son accent l’a trahi même si il maîtrisait le kikongo.

Vulgate : Petrus vero sedebat foris in atrio et accessit ad eum una ancilla dicens et tu cum Iesu Galilaeo eras […] et post pusillum accesserunt qui stabant et dixerunt Petro vere et tu ex illis es nam et loquella tua manifestum te facit

Loquella : langue, mots, langage.

La langue des Gala est le lingala. Au temps de Yissa’Yah Kongo, cette langue s’appelait le NGALILA, Galilée dans les Bibles actuelles. Pierre était un ngala qui était né et avait grandi au Nord, en Ngalila,  parmi les bangala, ne parlant que lingala.  

Maloko (Marc) 14, v 70 : Peu après, ceux qui étaient présents (les BAKONGO) dirent encore à Pierre: Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen. »  

Prenons le cas de l’apôtre Pola (mouillé) :

Philippiens 3, v 5 : moi, circoncis le huitième jour, de la race d’Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d’Hébreux; quant à la loi, pharisien;

Quelle langue parle-t-il ? Le Kongo.

Question : Comment les bakongo avaient su que Pierre était ngala ?

On voit bien que le passage de Matthieu 26 montre que les deux communautés fraternelles se reconnaissaient par leur langage propre, voire l’accent probablement. C’est comme si Pierre et les autres, sauf Judas Iscariot qui n’est pas galiléen, parlaient le créole martiniquais, et Judas Iscariot parlait le créole guadeloupéen. Pourtant, un ngala comprend ce que dit un kongo. Le passage le montre clairement dans la mesure où il y a un dialogue entre Pierre et les autres (bakongo).

Yissa’Yah était de la tribu de Juda (Yahunde), donc un kongo, donc Royaume du Sud.

Voir document PDF « Kongo Ngala » (cliquez dessus)

Hébreux 7, v 14 : car il est notoire que notre Seigneur est sorti de Juda, tribu dont Moïse n’a rien dit pour ce qui concerne le sacerdoce.

Yilima’Yah (Jérémie) 3, v 8 : Quoique j’eusse répudié l’infidèle Israël à cause de tous ses adultères, et que je lui eusse donné sa lettre de divorce, j’ai vu que la perfide Juda, sa sœur, n’a point eu de crainte, et qu’elle est allée se prostituer pareillement.

Les ngalas séparés, divorcés du peuple devinrent des bangoe, les autres, étrangers.

Yokana (Jean) 4, v 9 : La femme samaritaine lui dit: Comment toi, qui es Judéen (Kongo), me demandes-tu à boire, à moi qui suis une femme samaritaine (Ngala)? -Les Judéens, en effet, n’ont pas de relations avec les Samaritains.

Lorsque Yissa’Yah Kongo est arrivé, seuls les Kongos étaient considérés comme la maison de Yakaba (Kongo bena Yahunde), Juda. Mais les bakongo ne L’ont pas reçu, ils n’ont pas cru en Lui.

Yokana (Jean) 1, v 11 : Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue.

Les siens = Yahunde (Juda), donc bakongo.

On ne parle que des bakongo,  tribu de Juda, Yahunde,  et c’est à cause de l’incrédulité des Kongo que Yissa’Yah Kongo n’a pas fait beaucoup de miracles dans la Judée,  localité des Bakongo. 

Mateya (Matthieu) 13, v 53-58 : Lorsque Yissa’Yah Kongo eut achevé ces paraboles, il partit de là. 54 S’étant rendu dans sa patrie, il enseignait dans la synagogue, de sorte que ceux qui l’entendirent étaient étonnés et disaient: D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles? 55 N’est-ce pas le fils du charpentier? N’est-ce pas Marie qui est sa mère? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères? 56 et ses sœurs ne sont-elles pas toutes parmi nous? D’où lui viennent donc toutes ces choses? 57 Et il était pour eux une occasion de chute. Mais Yissa’Yah Kongo leur dit: Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie et dans sa maison. 58 Et il ne fit pas beaucoup de miracles dans ce lieu, à cause de leur incrédulité.

Luka (Luc) 19, v 43 : ils te (Jérusalem = capitale des bakongo) détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas connu le temps où tu as été visitée.

Yissa’Yah Kongo s’est tourné vers les brebis perdues de la maison de Yakaba, les divorcés, les bangalas.

Mateya (Matthieu) 15, v 24 : Il répondit: Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël.

Luka (Luc) 15, v 32 : mais il fallait bien s’égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu’il est revenu à la vie, parce qu’il était perdu et qu’il est retrouvé.

Ses cibles furent la GALILEE (La consonne finale s’avale, NGALIL  devient GALI, ou NGALI, Exemple : MU’NGALI  = issue de NGALI, quartier au CONGO BRAZZAVILLE). Il  prêcha aussi aux bangalas de la SAMARIE (Samali, car le « r » a le son du « l ») alors que selon la prophétie le salut devait d’abord commencer par les Bakongos puis les bangalas.

 Saka’Yah (Zacharie) 12, v 7 : L’Eternel sauvera d’abord les tentes de Juda, Afin que la gloire de la maison de David, La gloire des habitants de Jérusalem ne s’élève pas au-dessus de Juda.

Pour finir en beauté :

Yokana (Jean) 2, v 10 : et lui dit: Tout homme sert d’abord le bon vin, puis le moins bon après qu’on s’est enivré; toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent.

Voici une révélation faite par Nzambe dans le Livre des Jubilés :

40 • Langage de la création

Et le seigneur Kongo dit : – Ouvre (à Yissa’Yah Kongo) sa bouche et ses oreilles pour qu’il puisse entendre et parler par sa bouche le langage qui a été révélé et qui avait cessé sur les bouches de tous les enfants des hommes le jour du renversement [de Babel].

Alors J’(Yissa’Yah Kongo) ouvris sa bouche et ses oreilles et ses lèvres et commençai à parler avec lui en hébreu, dans la langue de la création. Et il prit les livres de ses pères qui étaient écrits en hébreu et il les transcrit et à partir de ce moment-là il commença à les étudier et Je lui fis connaître ce qu’il ne pouvait [comprendre] et il les étudia pendant 6 mois de pluie.

Ce passage confirme ce que « La langue la plus intelligente » dit en préambule et développe.

En conclusion : La véritable langue hébraïque des israélites est aujourd’hui appelée le « Kikongo » avec ses langues « sœurs » comme le lingala, kiswaïli, kimbala, zulu, et bien d’autres appelées par les édomites « langues bantoues ». Aussi, l’appellation « langues bantoues » ne se trouve qu’en Afrique, ce qui montre que les israélites sont pour l’instant positionnés en Afrique et sont noirs. Par ailleurs, au vu des différents documents PDF, il est évident que les langues diglossiques dites créoles que l’on retrouve dans les îles de la mer (Antilles, Caraïbes) et le continent américain ont pour base le « kikongo », car ces noirs qui sont là par le biais de la déportation en vue de l’esclavage sont en réalité des Kongo ou Judéens. Ainsi, les habitants de l’état d’Israël et leur diaspora dans le monde sont des « menteurs », et enseignent le mensonge tout en détournant la Vérité de Kongo et les prophéties qui concernent en grande partie les Israélites Peuple Elu de Kongo. Et quant à l’écriture hébraïque, celle utilisée par les usurpateurs khazars de l’état d’Israël est de l’araméen, et la Véritable écriture hébraïque des Israélites et de la Koma (Ecritures Saintes) est celle que l’on appelle Paléo Hébreu ou Paléo Mbala Isolele.

Documents supplémentaires (cliquez dessus)

Note : livre « La langue la plus intelligent », Josias Melo Nzeyitu.

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