La supercherie de l’abolition de l’esclavage

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Par Rodrigue KANCEL

Voilà un volet historique sur lequel il faut se pencher. KONGO dit dans sa Kuma ceci :

Genèse 15 : v 10-14 : Abram (Babala) prit tous ces animaux, les coupa par le milieu, et mit chaque morceau l’un vis-à-vis de l’autre; mais il ne partagea point les oiseaux. 11 Les oiseaux de proie s’abattirent sur les cadavres; et Abram les chassa. 12 Au coucher du soleil, un profond sommeil tomba sur Abram; et voici, une frayeur et une grande obscurité vinrent lassaillir. 13 Et l’Eternel (Yanda) dit à Abram (Babala): Sache que tes descendants seront étrangers dans un pays qui ne sera point à eux; ils y seront asservis, et on les opprimera pendant quatre cents ans. 14 Mais je jugerai la nation à laquelle ils seront asservis, et ils sortiront ensuite avec de grandes richesses.

Livre des Jubilés, chapitre 14 : Sache pour certain que ta semence sera comme un étranger dans la terre [qui n’est] pas la leur et ils les prendront en esclavage et les affligeront pendant 400 années. Et je jugerai aussi la nation pour qui ils seront en esclavage et après cela ils en sortiront avec beaucoup de biens et ils retourneront de ce côté-ci dans la 4e génération seulement, car l’iniquité des amorites n’est pas encore complète.

Cette malédiction de 400 ans a été déclenchée par ceci :

Deutéronome 28, v 15 : Mais si tu es indocile à la Parole du Seigneur ton YELA (Génie Créateur), si tu n’observes pas tous ses commandements que JE t’intime aujourd’hui, alors viendront sur toi toutes les malédictions, et elles t’atteindront.

Oui, la désobéissance à KONGO de la part de nos ancêtres (bankaka ya beto) a provoqué cette malédiction inédite et unique sur Isolele.

Maintenant, si KONGO a envoyé cette malédiction sur son Peuple Elu Isolele, est-ce LUI qui nous la retire ou quelqu’un d’autre ?

Daniel 4, v 17 : Telle est la sentence du veillant et la parole des saints, afin que les vivants sachent que le Seigneur est le dominateur du royaume des hommes, et qu’il le donne à qui bon lui semblera, et qu’IL élèvera pour le gouverner celui qui est en mépris parmi les hommes.

Replaçons le contexte du passage : Nébucadnetsar a eu un songe concernant un arbre, et il demande à Daniel de lui donner la signification.

v 22-24 : Cet arbre, ô roi, c’est toi-même ; car tu as grandi et tu t’es fortifié, et ta grandeur n’a cessé de croître, et elle est allée jusqu’au ciel, et ta domination jusqu’aux extrémités de la terre. 23 Or quand le roi a vu le veillant et le saint descendre du ciel, et que le saint a dit : Arrachez l’arbre, détruisez-le, mais laissez en terre la souche de ses racines ; quant à lui, qu’il reste étendu en des chaînes de fer et d’airain, parmi l’herbe qui l’entoure, exposé à la rosée du ciel, et qu’il partage avec les bêtes l’herbe des champs, jusqu’à ce que les temps aient changé sept fois sur lui : 24 Voici ce que cela signifie, ô roi, et c’est la sentence du Très-Haut, qui d’avance vient avertir le roi mon maître.

Les sentences et jugements sont donnés par KONGO, un point c’est tout, et c’est LUI qui détermine la durée, ainsi que la fin, de même que les conditions.

Donc pour les 400 ans d’esclavage, KONGO est au contrôle, et personne d’autre.

Aujourd’hui, qu’est-ce que nous apprenons à l’école d’Edom quant à l’abolition de l’esclavage ?

Rétabli sous Bonaparte par la loi du 30 floréal an X (20 mai 1802), l’esclavage est définitivement aboli le 27 avril 1848. Le décret du Gouvernement provisoire du 4 mars 1848 créant la commission d’abolition de l’esclavage précise que « nulle terre française ne peut plus porter d’esclaves » 

Selon les considérants du décret d’abolition du 27 avril 1848, « l’esclavage est un attentat contre la dignité humaine ; […] en détruisant le libre arbitre de l’homme, il supprime le principe naturel du droit et du devoir ; […] il est une violation flagrante du dogme républicain : Liberté, Égalité, Fraternité.» L’abolition de l’esclavage s’applique dans toutes les colonies et possessions françaises dans les deux mois de la promulgation du décret dans chacune d’elles. 250 000 esclaves noirs ou métis aux Antilles, à la Réunion et au Sénégal sont ainsi libérés.

Le décret du 27 avril 1848 interdit absolument « tout châtiment corporel, toute vente de personnes non libres ». Il interdit à tout Français, même en pays étranger, de posséder, d’acheter ou de vendre des esclaves, et de participer, soit directement, soit indirectement, à tout trafic ou exploitation de ce genre. Toute infraction à ces dispositions entraînerait la perte de la qualité de citoyen français ». L’article 7 précise que « le sol de France affranchit l’esclave qui le touche. »

Qu’apprenons-nous ?

Il s’agit d’un décret émis par un gouvernement provisoire, que ce soit pour 1794 et 1848.

Quand on lit ce document « Officiel », on est en droit de se poser plusieurs questions.

  1. Le décret a-t-il une valeur juridique ?
  2. Qu’est-ce qui a motivé cette abolition de l’esclavage ou ces abolitions de l’esclavage et ses répercussions ?
  3. Est-ce que cela est en accord avec la Kuma ?
    On va répondre à toutes ces interrogations.
  4. La valeur juridique du décret de 1794 et 1848.
    Pour cela, il faut jeter un regard objectif sur la législation française.

Tout décret dépend de la Loi qui lui donne naissance dans un cadre bien précis, que ce soit en 1794 et en 1848.

Dans l’histoire du droit, cette hiérarchie prévaut réellement depuis 1958. C’est en effet avec la Cinquième République, régime présidentiel, que le législateur perd explicitement la primauté. Avant 1958, la Constitution et les traités internationaux étaient présumés supérieurs aux lois votées par le Parlement… mais c’était surtout vrai sur le papier. Dans les faits, on dit que le législateur demeurait souverain, dans la mesure où aucun juge n’avait le pouvoir d’invoquer la Constitution pour contester la légalité d’une loi. Concrètement, impossible de contester une loi qui serait venue contredire les grands principes édictés par la Constitution.

On pourrait dire qu’en 1794 et 1848, un décret avait la même valeur que la loi. Voyons cela :

Bizarrement, il y a la loi qui rétablit l’esclavage dans les colonies près de 10 ans après le décret d’abolition de l’esclavage qui est sans Loi …

Quand on regarde dans le contexte national français, le décret dépend de la Loi, et non, un décret sans Loi comme un électron libre. Donc si pas de Loi, le décret n’a aucune valeur juridique. Ainsi en est il de l’abolition de l’esclavage qui n’a donc aucune valeur juridique.

  1. La motivation de l’abolition de l’esclavage ou de ces abolitions de l’esclavage.

Ce qui a motivé ces abolitions de l’esclavage, ce n’est pas un profond sentiment humaniste envers les esclaves noirs, mais c’était une stratégie pour éteindre les feux des révoltes serviles dans les différentes colonies édomites esclavagistes dans les Amériques. Pour ne pas perdre ces « trésors » fonciers outre atlantiques et économiques, les métropoles édomites d’Europe vont user de méthode pour amadouer leurs « poules aux oeufs d’or ». Il faut comprendre qui est l’esclavagiste : dans son mode de pensée, l’esclave vaut plus que l’or, car temps qu’il est maître, il dispose d’une machine de travail bon marché, docile et forte. On ne se débarrasse pas de la poule qui pond des oeufs en or si on veut toujours en avoir, on ne se débarrasse pas des esclaves qui produisent de la richesse.

Le décret de 1848 n’a aboli que les coups et sévices physiques, et pour vous montrer la supercherie, le gouvernement provisoire accorde une indemnité aux propriétaires d’esclaves à hauteur de leur perte en esclave affranchi.

Mais, à quel moment il y a réparation pour les esclaves, à quel moment il y a procès contre les bourreaux, à quel moment les esclaves sont pris en charge par le coupable pour retourner sur la terre où il a été enlevé et jeté de force dans les navires négriers appartenant à ceux qui se font appeler « juifs », à quel moment où l’état édomite esclavagiste prend en charge les anciens esclaves qui ne veulent pas repartir ? Jamais.

Ce qui a motivé les abolitions du milieu du 19ème siècle, c’est bel et bien le désir de ne pas perdre cette domination sur un peuple dominé (Bakongo), de ne pas perdre un territoire outre atlantique qui offre des perspectives nationales à des métropoles (comme la France, le Royaume Uni, la Hollande, l’Espagne, le Portugal), et la capacité de s’enrichir de manière exponentielle en changeant de système esclavagiste.

Voici ce qui est enseigné à l’école, et qui dit en partie la vérité :

Il y a un vieux dicton qui dit : « qui veut aller loin doit ménager sa monture. » le système esclavagiste à partir du 17ème siècle (1619) jusqu’au 18ème siècle (1794) est basé principalement sur les sévices physiques, la soumission physique au maître esclavagiste édomite (occidental) comme le décrit le terrible Code Noir.

Lire l’intégralité du texte : https://www.axl.cefan.ulaval.ca/amsudant/guyanefr1685.htm

Comment voulez-vous que l’esclave ne se révolte pas à cause de ces conditions ? L’abolition de l’esclavage du 19ème siècle donne lieu à un changement de système esclavagiste, sans toutefois l’abolir. Ce faux vent de liberté permet à la nation édomite esclavagiste de donner l’illusion à l’esclave faussement libéré de travailler plus pour son bourreau, et ceci par la méthode de l’assimilation et de l’intégration. En lui faisant miroiter l’illusion d’une liberté acquise et actée, l’esclavagiste entretient son niveau de richesse, le multiplie, et en cas de guerre, il a le concours de son esclave pour lui prêter main forte. Mais, il ne demeure pas moins que l’esclavagiste édomite domine toujours son esclave, et peut facilement le manipuler pour protéger ses intérêts.

Ainsi, au 20ème siècle et au 21ème siècle, l’économie de la France (pour ne parler que d’elle) n’a jamais cessé d’augmenter grâce à l’adhésion de ses esclaves des colonies esclavagistes (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion) faussement appelées « départements d’Outre Mer », et grâce à la colonisation sauvage et violente exercée dans l’Afrique et l’Océanie.

  1. Abolition en accord avec la KUMA ?

Quand on lit la Kuma, seul KONGO met fin à l’esclavage selon la durée qu’IL a donnée.

En 2019, une commémoration est presque passée sous les radars, et cela s’est déroulé sans faire de vagues. Tiens donc !

L’abolition dément les sombres prophéties des planteurs, qui craignaient la ruine de leurs exploitations et de leurs îles. Au contraire, elle se traduit par un regain de l’activité économique dans les colonies.

Il y a 400 ans, les premiers esclaves africains arrivaient en Virginie aux États-Unis

En août 1619, un navire anglais accostait sur les côtes de Virginie avec une vingtaine d’esclaves africains. Quatre cents ans plus tard, cette date a été retenue pour marquer le début de la période esclavagiste en Amérique du Nord.

Cette illustration publiée en 1901 dans le Harper’s Monthly Magazine évoque l’arrivée du « White Lion » à Hampton en 1619. Library of Congress

L’Amérique commémore le 400e anniversaire de l’arrivée des premiers ‘esclaves’

Les conditions à bord des bateaux négriers étaient brutales / 31 juillet 2019 / par la BBC NEWS AFRIQUE

La Présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, s’est rendue au Ghana, en Afrique de l’Ouest, pour des événements marquant le 400e anniversaire de l’arrivée des premiers esclaves africains en Amérique.

L’esclavage est le péché originel des États-Unis d’Amérique, et cette faute fondatrice a débuté il y a exactement 400 ans, à la fin août 1619 à Point Comfort (l’actuel Fort Monroe), en Virginie.

Le White Lion, navire pirate anglais battant pavillon hollandais, accoste alors avec à son bord une vingtaine d’Africains arrachés quelques semaines plus tôt au royaume de Ndongo, dans l’actuel Angola. Le White Lion les a capturés comme butin sur le navire portugais Sao Joao Baptista faisant route vers Veracruz, au Mexique.

Les négriers avaient embarqué environ 350 malheureux en Afrique. Les rescapés débarqués dans la colonie naissante sont maintenant considérés comme les premiers esclaves africains en Amérique du Nord.

Deutéronome 28, v 68 : Et le Seigneur te reconduira en Egypte sur des barques hors de ce chemin dont j’ai dit : Vous ne le reverrez plus ; et là, vos ennemis vous mettront en vente comme esclaves, hommes et femmes, et il n’y aura point d’acheteurs.

Pour ceux qui ne le savent pas, le continent Américain appartient aux kamites, et les autochtones appelés amérindiens sont bel et bien kamites. Ainsi, l’Afrique étant appelée Egypte, l’Amérique l’est de même.

Et comme avec KONGO les choses fonctionnent par 2, et ne se déroulent jamais deux fois de la même façon : en Afrique, les israélites ont été forcés de travailler par les kamites et pour les kamites en construisant des monuments et infrastructures, donc dans ce cas précis, les israélites n’avaient commis aucune faute envers KONGO auparavant. Dans le continent Américain et les îles, les israélites Bakongo déportés sont esclaves des édomites car ils ont désobéi à KONGO en délaissant sa Kuma pour suivre l’idolâtrie des nations étrangères. 

Revenons au sujet, pourquoi cette commémoration est passée sous les radars ?

Parce que cela remettrait en cause le narratif mensonger appris à l’école des satanistes francs maçons que la déportation et l’esclavage des noirs ont commencé dès 1500, ce qui est archi faux, car quand on lit les documents officiels des édomites, entre 1490 et 1550, ils n’avaient pas la capacité d’entreprendre ces deux actes à cause des guerres fratricides qui minaient l’occident, la pauvreté croissante, les nombreuses épidémies qui rongeaient ces nations. Et par ailleurs, les édomites ont essuyé beaucoup d’échecs tant en Amérique contre les autochtones « kamirindiens », et au 16ème siècle en accostant l’Afrique, ils ont essuyé beaucoup d’échecs contre les kamites qui les voyaient, selon leurs croyances, comme des démons.

La majorité des dates apprises à l’école et que l’on défend à coups de « pasteurs, enseignants, apôtres, évêques et prophètes » du mensonge est fausse, et souvent dans leurs discours, il y a de nombreuses contradictions historiques.

Donc, pour conclure sur ce thème, les abolitions de l’esclavage ne sont pas en accord avec la Kuma de par leur fausseté, mais aussi sont des évènements de commémoration vide de sens qui n’ont aucune valeur juridique, et la motivation n’est nullement humanitaire, mais pécuniaire, économique et est la volonté de dominer sur le Peuple Elu Isolele.


La supercherie de l’abolition de l’esclavage : Analyse historique et spirituelle

Contexte historique et spirituel
Le document met en parallèle les événements de l’esclavage transatlantique avec des textes bibliques, en particulier les malédictions annoncées dans la Bible (Genèse 15:10-14, Deutéronome 28:15) et leur lien avec la désobéissance des ancêtres du peuple Bakongo. La thèse centrale est que l’esclavage et ses conséquences auraient été orchestrés dans le cadre d’une malédiction divine infligée par Kongo, le Créateur. Selon l’auteur, seul Kongo peut mettre fin à cette malédiction.

Les abolitions de l’esclavage : un trompe-l’œil juridique
L’analyse des décrets de 1794 et 1848 met en question leur validité juridique. Ces actes sont qualifiés de « supercheries », car ils manquent d’une loi sous-jacente les rendant exécutoires selon les normes juridiques françaises. Par exemple :

  • Le décret de 1848, bien qu’interdisant l’esclavage dans les colonies françaises, aurait été motivé par des considérations économiques et stratégiques, plutôt que par des valeurs humanitaires.
  • Les indemnisations aux propriétaires d’esclaves affranchis montrent que l’intérêt économique des colons a primé sur une réelle justice pour les anciens esclaves.

Motivations réelles derrière l’abolition
L’abolition est perçue comme une stratégie pour apaiser les révoltes dans les colonies et préserver les intérêts économiques et territoriaux des métropoles européennes (France, Royaume-Uni, Espagne, etc.). L’idée est que l’esclavage, plutôt que d’être véritablement aboli, a été transformé en un système d’exploitation économique sous d’autres formes, comme l’assimilation et l’intégration forcées.

Persistance des inégalités
L’auteur souligne que la domination économique et culturelle des anciennes puissances coloniales sur les descendants d’esclaves persiste jusqu’à aujourd’hui, notamment à travers les départements d’outre-mer français et les anciens territoires colonisés. Les abolitions n’auraient donc été que des changements de façade pour maintenir une domination déguisée.

Analyse en lien avec la Kuma (loi divine)
L’abolition décrétée par les hommes est jugée incompatible avec la Kuma, car seul Kongo peut déterminer la fin de l’esclavage. L’auteur relie également l’histoire des premiers esclaves africains en Amérique (1619) aux prophéties bibliques, affirmant que l’interprétation historique enseignée dans les écoles occidentales est biaisée et remplie de contradictions.

Le document conclut que les abolitions de l’esclavage sont des actions dénuées de véritable fondement humanitaire ou spirituel. Elles sont perçues comme des outils économiques et politiques visant à maintenir une domination sur le peuple élu (Isolele/Bakongo), tout en leur donnant l’illusion d’une liberté acquise.

Si vous souhaitez approfondir certains aspects ou discuter de détails spécifiques, faites-le-moi savoir.

Analyse de la supercherie de l’abolition de l’esclavage

Thèse principale :
Le document présente une interprétation critique des abolitions de l’esclavage, les qualifiant de supercheries juridiques, politiques, et spirituelles. Il les oppose à une vision biblique et historique centrée sur la malédiction divine qui aurait frappé le peuple Bakongo, considérée comme la véritable explication de leur asservissement.

1. Fondements spirituels : La malédiction des 400 ans

L’auteur articule l’histoire de l’esclavage autour de textes bibliques (Genèse 15:10-14, Deutéronome 28:15).

  • Contexte spirituel : L’esclavage transatlantique est interprété comme la réalisation d’une malédiction divine liée à la désobéissance des ancêtres Bakongo envers les lois divines (Kuma).
  • Responsabilité divine : L’auteur insiste sur le fait que seul Kongo, le Créateur, a le pouvoir de mettre fin à cette malédiction, et non des gouvernements humains.

2. Critique des abolitions : Invalidité juridique et motivations économiques

Abolition de 1794 et 1848 : Des actes sans fondement juridique ?

  • Les décrets d’abolition sont analysés comme juridiquement faibles, car dépourvus d’une loi les soutenant.
  • La loi rétablissant l’esclavage en 1802 sous Napoléon révèle une incohérence dans les politiques abolitionnistes françaises.

Motivations des abolitions :

L’auteur avance que :

  • L’abolition n’est pas motivée par des idéaux humanistes mais par le besoin de calmer les révoltes dans les colonies et de préserver les intérêts économiques.
  • Les propriétaires d’esclaves ont été indemnisés pour la perte de leurs « biens », mais aucune réparation n’a été accordée aux anciens esclaves.

3. L’illusion d’une abolition réelle

Un changement de système :

L’abolition de l’esclavage aurait simplement transformé un système brutal (basé sur les sévices physiques) en une exploitation économique déguisée (assimilation, intégration).

  • Les esclaves « libérés » continuent de contribuer à la richesse de leurs anciens maîtres sous une autre forme.
  • Les colonies françaises restent des sources majeures de richesse pour la métropole.

4. Analyse spirituelle : L’accord avec la Kuma

L’auteur examine si ces abolitions sont conformes à la loi divine :

  • Il conclut que ces abolitions ne sont pas en accord avec la Kuma, car elles ne procèdent ni d’un pardon divin ni d’un jugement réparateur.
  • L’auteur relie également des événements historiques, comme l’arrivée des premiers esclaves africains en Virginie (1619), à des prophéties bibliques souvent mal interprétées.

5. Héritage et commémorations : Une vérité dissimulée

  • L’auteur critique les commémorations historiques, jugées superficielles et dénuées de reconnaissance véritable des souffrances subies.
  • Il affirme que la chronologie enseignée (esclavage dès 1500) est incorrecte et que l’Occident dissimule des vérités gênantes pour préserver son récit historique.

Conclusion générale

L’abolition de l’esclavage, vue sous cet angle, est une opération cynique masquant une exploitation continue. Elle sert les intérêts économiques et politiques des anciennes puissances coloniales tout en entretenant l’illusion d’une justice sociale. Spirituellement, elle est perçue comme une tentative vaine de contourner la volonté divine, car seul Kongo détient le pouvoir de libérer véritablement son peuple.

Du point de vue de la Kuma (Écritures), ce n’est pas au bourreau de mettre fin à l’esclavage, surtout que cet état d’esclavage des Bakongo garantit une forte manne financière, économique et sociale pour les édomites et ses alliés. La seule personne qui mettra fin à cela c’est Notre Nzambe Kongo, car cet esclavage résulte de la désobéissance de son Peuple Elu Isolele qui a désavoué le Père (KONGO), le Fils Unique Yissa’Yah Kongo, et l’erreur fatale du rejet de la Kuma et de l’Alliance Éternelle (Bala na mvula).
L’esclavage de 400 ans est un jugement de Kongo contre Isolele qui a vertement péché.

Sources liens :

  • http://www2.assemblee-nationale.fr/static/evenements/esclavage/loi1802.pdf

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